Trafic d’influence : un agent de l’entreprise Ingeneering &Innovation nargue tout le monde à Bunia

Commentaires

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  1 mayembe Sumaili Simom Le 14/10/2014

  De l'analyse minutieuse du Journal le Millénaire faite par des hommes avertis et intègres que nous sommes au sujet du trafic d'influence d’un agent de l'entreprise Ingeneering & Innovation qui nargue tout le monde à Bunia, il est difficile de comprendre que :
  
  Primo: Nous voudrions savoir comment un seul homme peut il narguer toute une ville comme Bunia qui regorge en son sein plus de deux millions d'habitants?
  Que l’éditeur du journal le Millénaire qui est un homme de métier connu pour son professionnalisme à Bunia, puisse autoriser la publication de ce genre d'article qui n'a qu'un caractère de tract, du fait que le nom du Cadre de l'entreprise n'est même pas cite. On comprend bien qu'il y a eu à boire et à manger.
  
  Secundo: Le fait de citer nommément l'entreprise qui emploie " le fameux cadre intouchable" dénote de la jalousie et de la mauvaise foi qui caractérise l'opposition de notre pays sur la méconnaissance de toutes les actions entreprise par notre Gouvernement.
  
  Tertio: I&i n'est pas une entreprise publique de l'Etat Congolais, mais une société privée à responsabilité limitée. Il est donc aberrant de comprendre qu'en sa qualité " le fameux cadre intouchable" puisse donner des injonctions et interférer dans la justice au moment où nous savons qu'actuellement des hautes autorités du pays sont traquées et interpellées par la justice de notre pays pour des infractions de droits communs. C’est une façon de se moquer d’une manière générale de cette justice et en particulier de la justice du District de l’Ituri et de ses autorités.
  Quarto : On comprend bien que c’est des manœuvres dilatoires de pouvoir déstabiliser cette entreprise en cherchant à lui ôter de ses cadres dynamiques qui font sa fierté et sa maintenance malgré les vicissitudes des financements qu’elle connait.
  Quinto : Nous constatons que l’auteur de cet article manipulé par une main noire n’a pas été en mesure de dissocier les « affaires privée » s’il y en a eu, au fonctionnement d’une société privée à responsabilité limitée dont le statut et l’objet social sont bien connus de tous.
  En conclusion, nous demandons à l’auteur et l’éditeur du journal le Millénaire de faire montre du professionnalisme et du respect de la déontologie journalistique.
  
  Notable de Bunia,
  NDUNDRO